Presse

L'Archéologue Magazine (Juin-Août 2016)

Revue Silence (juin 2016)


Le Télégramme

La Montagne (Mai 2016)





Journal de la Haute Marne 16/05/2016



Jérôme Pérez parle de son Le entre business et dans l'émission Qu'ei Lo Gran Descluc sur .







Christian Araud était l'invité de Gille Nalbone dans « ‪#‎demain‬ la ‪#‎Terre‬ » sur RCF - Radio chrétienne francophone
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Les Fruits oubliés

L'Agglorieuse

Les Fruits oubliés
















Natacha Polony, journaliste, faisait la part belle dans La Revue de presse sur Europe 1 au débat Nourriture & Liberté et aux néo-ruraux. http://www.europe1.fr/…/la-revue…/leurope-a-la-carte-2671210

7.21 – 8.40





Bernard Farinelli est passé sur La Quotidienne sur France 5 et sur Carnet de campagne
sur France Inter.



























Dictionnaire encyclopédique des cépages de Pierre Galet




Le Huffington Post, 9 septembre 2015








 
 


Libérez le goût ! Carlo Petrini



Le Monde, septembre 2015


Fou de cuisine, sept. 2015








Zeste de juillet/août


Carlo Petrini : « Coca Cola et McDonald's gâchent l'Expo de Milan»

































































Carlo Petrini, fondateur de Slow Food.
A l'occasion de la sortie en France de son livre Libérez le goût, le fondateur de Slow Food regrette que l'exposition universelle n'implique pas les paysans. Il organise en octobre un événement en leur honneur.
«En ce moment à Milan, l'exposition universelle bat son plein. Mais nous sommes très tristes que l'esprit de l'Expo ait été sacrifié à l'industrie agro-alimentaire, comme le prouve la participation de Coca Cola ou McDonald's.» Venu présenter l'édition française de son dernier ouvrage, Libérez le goût (Éd. Libre & Solidaire), en vente depuis quelques jours, Carlo Petrini, fondateur de Slow Food, ne mâche pas ses mots.
Réunis autour de fromages et charcuteries chez Bocca Rossa, la table transalpine de Sylvain Sendra (Itinéraires) dans le Quartier Latin, journalistes, membres et sympathisants (Cécile Duflot est au premier rang) de la branche française de l'association fondée pour lutter contre les fast food sont prévenus: le Slow Food n'est pas qu'un club de «bobos voulant bien manger». Il s'agit plutôt d'une approche de la gastronomie comme «science holistique», comme l'a définie Brillat-Savarin, référence souvent citée par le Piémontais, englobant l'ensemble de la chaîne de production et ses effets sur l'environnement et les paysans. «Je me fiche de la porno-gastronomie omniprésente dans les médias: il n'y a pas que les photos de plats, les recettes et les étoiles qui comptent, il y a aussi l'agriculture, la fertilité du sol, le désastre de l'eau. Une gastronomie qui ne pense qu'à l'homme mais pas à la terre n'est pas juste» dénonce celui que beaucoup considèrent comme le José Bovéitalien.
10.000 jeunes fermiers du monde entier
Carlo Petrini, dont l'action et l'engagement ont été reconnus par les Nations unies en 2013 (prix de Champion de la Terre «pour avoir amélioré et rendu plus soutenables l'alimentation et l'offre de nourriture dans de nombreux pays») a créé Arcigola en 1986, qui deviendra Slow Food en 1989. Il est aussi le fondateur du réseau Terra Madre, du Salon du Goût de Turin et de l'Université des Sciences gastronomiques de Pollenzo (Piémont), qui accueille 600 étudiants par an.
Son essai Libérez le goût revient sur les origines de Slow Food - le scandale du vin au méthanol, au printemps 1986, qui a ruiné les producteurs de Barolo et Barbaresco -, sur son développement - l'association est présente aujourd'hui dans 150 pays et compte 100.000 membres rattachés à 1500 antennes locales - et sur ses combats pour défendre le droit à la nourriture, à l'eau et à la sauvegarde de la biodiversité.
Considérant «ridicule» l'absence de paysans et de producteurs à une expo universelle ayant pour thème «Nourrir la Planète», Carlo Petrini et Terra Madre ont annoncé une initiative parallèle, à Milan, du 3 au 6 octobre, intitulée «We feed the planet». L'objectif? Inviter 10.000 jeunes fermiers, pêcheurs, nomades et étudiants du monde entier à des ateliers et des débats sur le futur de l'alimentation et de l'agriculture. Pour pouvoir accueillir les paysans africains ou sud-américains sans que ceux-ci n'y laissent leur salaire annuel, une plate-forme de crowdfunding a été mise en place. Terra Madre a également demandé aux Milanais d'héberger ces petits producteurs pendant les trois jours. Dario Fo et Adriano Celentano se sont déjà déclaré disponibles. «Ça c'est utile, pas l'Expo» a conclu Petrini.

Pour écouter l’interview de Carlo Petrini à Bretagne durable : http://www.bretagne-durable.info/carlo-petrini-liberer-gastronomie-dun-modele-elitiste



Dictionnaire encyclopédique des cépages de Pierre Galet






Retrouvez également l'article de JP Géné sur LE MONDE.FR

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ET SUR LE POINT.FR


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La Journée viticole relaie l'article du Monde :




L'AFP en parle...

- Une encyclopédie des cépages Une petite maison d'édition -- M.E.C./Libre & Solidaire à Paris -- offre aux amateurs une encyclopédie de plus de 10.000 cépages cultivés dans le monde en 1.200 pages illustrées de 4.000 photos et dessins sous la signature de l'homme de référence, Pierre Galet, aujourd'hui âgé de 94 ans et père de l'ampélographie moderne. Son Dictionnaire encyclopédique des cépages et de leurs synonymes fait suite à son Précis d'ampélographie pratique, publié dès 1952. http://www.libre-solidaire.fr


La Revue des vins de France




Lettre à Mme Marghem




Vers une société désirable

 




La Face cachée de Darwin











Science et Avenir, novembre 2014 




Marc Giraud



Quelles orientations politiques




Vers une société désirable

Silence n° 433, avril 2015



Revue des anciens élèves de l'Ecole de polytechnique, novembre 2014 



Des égouts sous la mer


Depuis qu’il a découvert le Wharf de la Salie il y a quelques années, le professeur marseillais Henry Augier - spécialiste des polluants en mer - ne cesse de dénoncer l’émissaire en mer du Bassin et « les polluants qu’il déverse ». Le grand tuyau bleu fait même la couverture de son ouvrage.
Le titre fait déjà polémique : “Des égouts sous la mer”. Sans parler de la photo qui, sur le Bassin, ne passera certaine­ment pas inaperçue… On y voit le Wharf de la Salie - il y a quelques années - avec une grande tâche brunâtre s’échappant de sa cana­lisation. Mais l’émissaire bleu du Bassin est aussi en bonne place dans l’ouvrage signé du professeur Henry Augier. Ce scientifique - qui fut responsable de l’enseignement de la science des pollutions à l’université de la Méditerranée - s’attaque aux émissaires en mer français : « Des procédés vieillots, obsolètes, qu’il faut supprimer au plus vite », lâche-t-il. « Gigan­tesques seringues qui injectent les polluants les plus toxiques, les plus redoutables et les plus résistants… C’est une illusion de croire que cette masse d’eau, sortant en continu des émissaires, reste bien sagement sur place. » Et parmi les dizaines d’exemples que le scientifique cite, deux ouvrages sont mis en avant : la calanque de Cortiou déversant les effluents traités de Marseille puis le Wharf de la Salie pour le volet atlantique. « Oui, il y a eu des améliorations », admet Henry Augier. « Lorsque l’on a commencé à déverser en mer les effluents du Bassin, on collectait les eaux usées sur des dizaines de kilomètres en les rejetant sans traitement. Puis des stations ont été construites et améliorées. Mais ces ouvrages ne respectent que les normes européennes qui sont déficientes. Les matières organiques et les matières en sus­pension sont éliminées mais les procédés utilisés ne sont pas faits pour arrêter les produits les plus toxiques et indestructibles comme les détergents, les PCB, les métaux lourds… »
« On assainit la mer mais on pourrit les nappes »
« Ramené au volume des eaux usées, cela commence à faire des quantités importantes. » Et concer­nant l’alternative de l’infiltration que le Siba étudie, Henry Augier n’est pas plus convaincu… « C’est une utopie, un simple transfert de pollution des océans aux aqui­fères. On assainit la mer mais on pourrit les nappes, les lacs et les zones humides. » Mais alors, quelles solutions ? « Nous dispo­sons actuellement de techniques suffisamment performantes pour épurer à 100 % les eaux usées dont la qualité peut atteindre celle des eaux potables. » Le scienti­fique cite donc des exemples à Berlin, en Australie, en Namibie ou, plus proche de nous, à Cannes où la station d’épuration épure totalement ses eaux. » Alors, avec ce livre, l’auteur souhaite faire naître « une prise de conscience » et « un débat », notamment autour de notre plan d’eau. « Il faut mettre les autorités et les élus en face de leurs responsabilités, en rappelant que les lois sur l’eau recomman­dent de traiter la pollution à la source et non pas de l’éloigner des rivages ! »
[ J-B.L. ]

Et la tâche alors ?
L’explication a été donnée plusieurs fois par le Siba. « Avant 2007, une tâche brunâtre marquait le point de déversement du Wharf, due à l’utilisation par les stations d’épuration de sulfate de fer, employé pour ses fonctions coagulantes. Le produit a, depuis, été remplacé par le polychlorure d’aluminium, incolore cette fois. Des épisodes ponctuels de coloration sont observés », concède la collectivité du Bassin. « Par ailleurs, des mousses sont couramment observées en sortie d’émissaire et constituent un marqueur visible du panache du Wharf, dont la dynamique est liée au vent, à la marée et aux vagues ».


« Il faut mettre les autorités et les élus en face de leurs responsabilités », martèle le scientifique.

“Des égouts sous la mer”, Henry Augier. Aux éditions “Libre et solidaire”. Prix 15,90 euros, 224 pages.


 Agora Vox du 19 novembre 2014, Des égouts et des douleurs

http://renecapo.blogspot.fr/, le site de René Capo (coordinateur du comité de vigilance de Biscarosse) 

Poissons, histoires de pêcheurs, de cuisiniers et autres

Le Marin du 26 septembre 2014



Vous pouvez accéder à l'article en ligne en cliquant sur l'image.




Le Magazine du Monde, 05 juillet 2014 






Journal Mieux vivre Sanary août 2014


United Fashion Fashion for Peace,

Pour une planète éthique, juillet 2014






Les Zindigné(e)s, juin 2014





Paris-Normandie du 14 mai





La Croix du 15 avril 2014



Qui veut la peau du lynx ?


Radio Nov FM (radio locale vendéenne)


Le Courrier de la nature, mai-juin 2014


L'Obs Le Plus, janvier 2015



La Gazette des grands prédateurs, août 2014




LyonMag2, été 2014

Vous pouvez accéder à l'article en ligne en cliquant sur l'image.

Droit animal, éthique et sciences, juillet 2014



30 Millions d'amis du mois de mai 2014

La Salamandre, avril 2014



Terre sauvage du mois de mai 2014







Le Progrès 



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