Un autre monde se construit avec Serge Latouche à l'université de Rennes du 26 au 28/10 !
dimanche 4 octobre 2015
Simon Charbonneau prône un monde à l’échelle humaine.
jeudi 24 septembre 2015
Mise en bouche
Grâce aux dons reçus sur le site Fundovino, le livre, La Naissance de la vigne et du vin, est en bonne voie. En voici quelques extraits. cliquez ici!
N’hésitez pas vous aussi à faire circuler l'information et à participer sur fundovino.com!
dimanche 13 septembre 2015
Pour en finir avec l'économie et Le Prix de la démesure
Vient de paraître !
Cet ouvrage est le
fruit d’échanges entre Serge Latouche et Anselm Jappe. Durant toute sa carrière
universitaire, Serge Latouche a enseigné l’épistémologie des sciences
économiques. En se penchant de manière critique sur ces fondements, il s’est
rendu compte que l’ensemble des présupposés de l’économie était très mal
assuré. Anselm Jappe, quant à lui, est arrivé à une conclusion très proche à
travers une relecture des catégories de l’économie, telles que la marchandise,
le travail, l’argent ou la valeur, qui sont en même temps des formes de vie
sociale.
La vie économique qui
nous apparaît comme la base naturelle de toute vie humaine et le fondement de
toute vie sociale existait-elle dans les sociétés précapitalistes ?
L’objet même de la
réflexion des économistes n’est-il pas plutôt une « trouvaille de
l’esprit », une invention, un imaginaire qui a désormais colonisé notre
esprit et nos vies ?
Si l’économie est une
création historique finalement assez récente, comment fonctionnaient les
sociétés pré-économiques ? Comment s’est inventée, au fil du temps, cette
économie dans la pratique comme dans la réflexion ?
Réfléchir à un futur
différent pour notre société implique de penser l’impensable, de réaliser
l’improbable, pour enfin ‒ selon le mot de Serge Latouche ‒
« sortir de l’économie ».
Un enjeu majeur pour
notre avenir…
Serge Latouche,
professeur émérite à la faculté de droit, économie et gestion Jean-Monnet de
l’université Paris-Sud est l’un des « contributeurs historiques » de
la Revue du MAUSS. Il est l’un des
fondateurs de la revue Entropia, consacrée
à l’étude théorique et politique de la décroissance. Il a développé une théorie
critique envers l’orthodoxie économique et dénoncé l’économisme, l’utilitarisme
dans les sciences sociales et la notion de développement. Il est un des
penseurs les plus connus de la décroissance, thème de ses nombreux ouvrages.
Anselm Jappe
enseigne l’esthétique à l’école d’art de Sassari (Italie) et donne des cours au
Collège international de philosophie. Ancien membre du groupe Krisis, il a
publié de nombreux articles dans divers revues et journaux. Il est l’auteur de
plusieurs ouvrages, dont un important essai sur Guy Debord. Il fait partie du
courant de la « nouvelle critique de la valeur » fondant une critique
contemporaine du néolibéralisme par une relecture de l’œuvre de Karl Marx.
L’idée
de ce livre est née d’une réflexion menée à la suite de l’effondrement
économique de 2008. Cette idée se formule sous la forme d’une question que
tout le monde se pose aujourd’hui, quelle que soit sa condition sociale :
« Comment se fait-il que l’humanité moderne se retrouve dans un tel
désarroi, face à un monde où s’accumulent des menaces aussi multiples
qu’imprévues ? »
Les
réponses se situent dans le droit-fil de la pensée critique du monde moderne
qui a guidé l’œuvre de Bernard Charbonneau et celle de Jacques Ellul, ainsi que
d’autres auteurs restés méconnus du fait du règne castrateur de l’idéologie
progressiste. Cette démarche part de constats d’ordre historique relatifs à la
course à la puissance initiée par l’Occident depuis la révolution industrielle.
Et cela a pour conséquences le dépassement de toutes les limites : des
transports toujours plus rapides, des moyens de communication toujours plus
denses, une surinformation permanente… qui plongent l’humanité dans le
désarroi. L’analyse de ce processus prométhéen insiste particulièrement sur les
mutations survenues depuis une cinquantaine d’années et sur la complicité que
nous vivons comme une tragique malédiction.
Cette
réflexion induit une certaine conception des relations de l’homme aux autres et
à la nature. Si nous avons un avenir à imaginer, c’est celui d’un monde à
l’échelle humaine.
Simon Charbonneau a été maître de conférences à
l’IUT « Hygiène sécurité environnement » de Bordeaux et chercheur au LAP
de l’université de Bordeaux-I, enseignant en troisième cycle dans plusieurs
universités et directeur de thèses. Il est spécialisé en droit de
l’environnement depuis 1975, et est l’auteur de nombreuses publications. Membre
du comité de rédaction de Préventique Sécurité, il est passionné de nature. Sa
spécialisation en droit de l’environnement lui a permis de mettre ses
connaissances au service de ses engagements auprès de mouvements associatifs en
Aquitaine, où il est resté très enraciné.
mercredi 10 juin 2015
Le Dictionnaire encyclopédique des cépages et de
leurs synonymes
est un ouvrage fondamental et exhaustif.
Une première édition parue en 2000 est épuisée et introuvable depuis de
nombreuses années. Réactualisé et augmenté, il comporte des mises à jour tant
sur les statistiques que sur les dernières techniques de la science de l’ampélographie.
Avec plus de 1 200 pages et 3 000 photos, il permet une
identification immédiate des cépages sur le terrain en donnant toutes les clés
pour les reconnaître. Il indique les synonymes et reprend les noms régionaux.
Il précise leur répartition géographique et propose une identification très
claire. Ce sont près de 10 000 cépages de l’ensemble du monde qui
sont répertoriés et analysés : un travail unique et monumental.
Cette
édition définitive, d’une œuvre majeure et indispensable, a été entièrement revue,
corrigée et actualisée par son auteur. Elle est de toute première importance
pour l’ensemble de la filière viticole. Travail de grande ampleur, elle
intéresse aussi bien les amateurs passionnés que les professionnels de la vigne
et du vin.
Pierre Galet est considéré comme le père de l’ampélographie
moderne. Ses ouvrages ont été publiés dans le monde entier. En tant que
contrôleur de la Protection des végétaux, il est chargé de mettre sur pied le
contrôle des bois et plants de vigne. En 1956, il publie Cépages et vignobles de France, un
ouvrage répertoriant et décrivant les cépages cultivés à l’époque en France. Il
s’impose dès les années 1950 comme un expert en matière d’ampélographie,
et en 1979 publie un Précis d’ampélographie
pratique édité par l’université de Cornell à Geneva, dans l’État de New
York, régulièrement réédité et mis à jour. Une première édition de son Dictionnaire encyclopédique des cépages
paraît chez Hachette en 2000.
Dix mille jardins en Afrique, 10 000 produits en danger de disparition à embarquer sur notre « arche du goût », 10 000 liens à créer au sein du réseau que Slow Food et Terra Madre ont tissé dans le monde entier. La plus grande association mondiale engagée dans la science gastronomique donne ainsi la synthèse de ses prochains objectifs. Elle les transcrit dans son programme pour la « gastronomie libérée », sur ce chemin que les êtres humains ont encore à parcourir pour se réconcilier avec la Terre et se libérer du fléau de la faim et de la honte de la malnutrition.
Un programme trop ambitieux, une nouvelle utopie ? En parlant de « gastronomie pour la libération », Carlo Petrini ne rêve pas : au contraire, il a plus que jamais les pieds sur terre. Il retrace l’expérience de Slow Food et de Terra Madre à travers les multiples histoires qui valorisent le travail des petits paysans, les productions traditionnelles, l’éducation à la qualité des aliments sous la bannière du « bon, propre et juste ». Slow Food et le réseau Terra Madre, grâce aux succès remportés aux quatre coins de la Terre, et souvent là où la spéculation agro-industrielle et la pauvreté avaient frappé fort, influencent déjà les grandes agences de la governance mondiale.
Cette action doit être en première ligne de la lutte pour le droit à la nourriture, à l’eau et à la sauvegarde de la biodiversité : « Les aliments peuvent nous rendre libres, s’ils redeviennent “nos” aliments, par tous les moyens possibles et imaginables, au gré des différences de culture et de goût. Parce que la nourriture est liberté. »
L’auteur
Carlo Petrini, né en Italie en 1949, a derrière lui des études de sociologie et un engagement politique et associatif constant. Dans les années 1980, il fonde Arcigola, qui devient Slow Food en 1998 et dont il est toujours le président international. Il a créé le Salon international du goût de Turin, le réseau Terra Madre et l’université des sciences gastronomiques de Pollenzo. En 2004, la revue Time Magazine lui attribue le titre de Héros européen contemporain dans la catégorie « Innovator ». En janvier 2008, il est le seul Italien à être cité parmi les « 50 personnes qui peuvent sauver le monde », liste publiée par le quotidien anglais The Guardian. En septembre 2013, le Programme des Nations unies pour l’environnement lui remet le prix de Champion de la Terre « pour avoir amélioré et rendu plus soutenable l’alimentation et l’offre de nourriture dans de nombreux pays ». Éditorialiste de La Repubblica et collaborateur du groupe Espresso, il a déjà publié plusieurs ouvrages en France.
Prix : 14,90 €
Format : 15,5 x 22,5
Nb de pages : 256
vendredi 8 mai 2015
L’homme est
intelligent, il n’y a aucun doute. Il a sondé l’infiniment petit bien au-delà
de l’atome et l’infiniment grand jusqu’aux confins de l’Univers. Il est allé au
plus profond des océans et a décroché la Lune. Il est l’inventeur de mille et
une choses qui ont amélioré sa façon de vivre.
Comment
expliquer alors son comportement collectif irresponsable qui frise la bêtise et
l’idiotie, défit la raison et peut conduire aux pires horreurs ? Les
comportements collectifs incohérents et parfois odieux portent atteinte à
l’humanité elle-même : crises financières majeures, systèmes politiques
aberrants, guerres, fanatismes politiques, génocides atroces, destruction et
empoisonnement de l’environnement… tout cela contribue à la ruine de notre
civilisation et de notre espèce.
Où va le
monde ? L’« homme collectif » sera-t-il capable de comprendre la
situation ? A-t-il en lui les ressources nécessaires pour stopper les
processus dévastateurs qu’il a mis en place et perfectionnés, et qui ne cessent
de s’aggraver ? Les intelligences individuelles pourront-elles pallier les
imbécillités collectives ? Y aura-t-il un sursaut de lucidité pour arrêter
tous les débordements, éviter le chaos et parvenir à ce monde meilleur auquel
tout le monde aspire ?
Tel est
l’enjeu des défis qui se posent à l’homme d’aujourd’hui ; espérons que son
intelligence saura trouver les clés d’un monde meilleur…
L’auteur
Docteur d’État, maître
de conférences honoraire à la faculté des sciences de Marseille-Luminy,
professeur honoraire à l’École nationale des travaux publics de l’État, Henry
Augier a été à la tête d’un laboratoire spécialisé dans l’étude des nuisances.
Il fut également responsable de l’enseignement de la molysmologie (science des
pollutions) à l’université de la Méditerranée et expert consultant
international sur les problèmes de pollution et de protection de la nature. Engagé
dans de nombreuses actions de sauvegarde de notre environnement, il continue à
œuvrer au sein de multiples associations pour une meilleure qualité de vie et
pour tenter de laisser aux générations futures un monde tolérable. Il a écrit beaucoup
d’ouvrages de vulgarisation scientifique consacrés aux dangers majeurs qui nous
menacent.
Loin des idées toutes faites, cet ouvrage dresse un bilan sans concession des problèmes écologiques qui se posent à notre civilisation et invite à une vraie prise de conscience afin de les résoudre. C’est un combat non seulement des différents pouvoirs, mais aussi de chacun de nous ; une démarche personnelle qui touche tous les domaines de la vie en société : alimentation, habitat, consommation, énergie…
L’auteur dénonce également les attitudes ambiguës des écologistes « patentés » qui bien souvent se débattent ou acceptent bien des contradictions contraires à leurs discours.
Un véritable cri d’alarme pour préserver notre avenir et celui nos enfants.
L’auteur
Passionnée de nature et d’animaux, Marie-Pierre Hage milite dans plusieurs associations de protection de l’environnement et de la faune sauvage, dont FERUS (préservation du loup, de l’ours et du lynx en France). En mars 2012, elle accepte de s'engager pour les législatives au sein de l'Alliance écologiste indépendante, mouvement dans lequel elle retrouve les valeurs qu’elle désire défendre et promouvoir. Elle est l’auteur de plusieurs livres : Le Chêne, la louve et Julie (nouvelles), Animaux esclaves (document), D’Lina ou la vie sur quatre pattes (roman).
PCB, sous ces initiales anodines se cache l’une des pires pollutions que l’homme ait engendrées : les polychlorobiphényles.
Ces substances, qui n’existent pas à l’état naturel, ont longtemps été considérées comme un produit miracle aux usages multiples et aux propriétés remarquables. Elles ont envahi notre univers, on les trouve partout : dans l’eau, les aliments, les produits ménagers, les vêtements…
On s’aperçoit maintenant qu’elles sont un danger pour notre environnement : véhiculées par l’air et les eaux, elles se sont répandues dans tous les milieux, y compris dans l’espace maritime.
Bien qu’alertées par la communauté scientifique et médicale, les autorités ont laissé faire, en ne tenant compte que des intérêts financiers des grandes sociétés.
Au contact de la vie, ces substances contaminent la flore et la faune, et sont présentes au sein des écosystèmes et dans la chaîne alimentaire. Elles pénètrent dans le sang, véhicule idéal pour atteindre tous les tissus et tous les organes.
Le bilan est effrayant et sans appel. Elles mettent gravement en danger la santé des êtres vivants. Elles sont à la base de nombreux problèmes de santé, dont certains très graves : allergies, diabète, maladies neurodégénératives, retards cognitifs, cancers, etc.
C’est, à l’échelle planétaire, l’un des plus grands scandales environnementaux de l’histoire de l’humanité.
Docteur d’État, maître de conférences honoraire à la faculté des sciences de Marseille-Luminy, professeur honoraire à l’École nationale des travaux publics de l’État, Henry Augier a été à la tête d’un laboratoire spécialisé dans l’étude des nuisances. Il fut également responsable de l’enseignement de la molysmologie (science des pollutions) à l’université de la Méditerranée et expert consultant international sur les problèmes de pollution et de protection de la nature et de la mer. Il a écrit de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique consacrés aux dangers majeurs qui nous menacent, dont Des égouts sous la mer, Libre & Solidaire, 2014.
Passionnée de nature et d’animaux, Marie-Pierre Hage milite dans plusieurs associations de protection de l’environnement et de la faune sauvage, dont FERUS (préservation du loup, de l’ours et du lynx en France). En mars 2012, elle accepte de s'engager pour les législatives au sein de l'Alliance écologiste indépendante, mouvement dans lequel elle retrouve les valeurs qu’elle désire défendre et promouvoir. Elle est l’auteur de plusieurs livres : Le Chêne, la louve et Julie (nouvelles), Animaux esclaves (document), D’Lina ou la vie sur quatre pattes (roman).
Prix : 14,00 €
Dimensions : 15,5 x 22,5
Nombre de pages : 176PCB, sous ces initiales anodines se cache l’une des pires pollutions que l’homme ait engendrées : les polychlorobiphényles.
Ces substances, qui n’existent pas à l’état naturel, ont longtemps été considérées comme un produit miracle aux usages multiples et aux propriétés remarquables. Elles ont envahi notre univers, on les trouve partout : dans l’eau, les aliments, les produits ménagers, les vêtements…
On s’aperçoit maintenant qu’elles sont un danger pour notre environnement : véhiculées par l’air et les eaux, elles se sont répandues dans tous les milieux, y compris dans l’espace maritime.
Bien qu’alertées par la communauté scientifique et médicale, les autorités ont laissé faire, en ne tenant compte que des intérêts financiers des grandes sociétés.
Au contact de la vie, ces substances contaminent la flore et la faune, et sont présentes au sein des écosystèmes et dans la chaîne alimentaire. Elles pénètrent dans le sang, véhicule idéal pour atteindre tous les tissus et tous les organes.
Le bilan est effrayant et sans appel. Elles mettent gravement en danger la santé des êtres vivants. Elles sont à la base de nombreux problèmes de santé, dont certains très graves : allergies, diabète, maladies neurodégénératives, retards cognitifs, cancers, etc.
C’est, à l’échelle planétaire, l’un des plus grands scandales environnementaux de l’histoire de l’humanité.
L’auteur
Prix : 23,50 €
Dimensions : 15,5 x 22,5
Nombre de pages : 416Pour nous aider à mener à bien cette mutation, des actions concrètes à adopter par les différents acteurs socio-économiques que nous sommes sont proposées en fin de chaque chapitre. Pédagogique, l’ouvrage synthétise toutes ces actions dans une série de tableaux qui constituent un véritable mode d’emploi. Loin des dogmatismes et du prêt-à-penser, ce livre pose les vrais problèmes en évitant les préjugés et les idéologies pour mieux nous adapter à ces bouleversements que nous allons bientôt affronter. La survie de notre société dépend de notre capacité à nous servir de nos avancées technologiques pour élaborer les solutions qui assureront l’avenir de l’humanité.
L’auteur
Pascal Wets est ingénieur civil sorti de l’École polytechnique de Bruxelles. Il a d’abord travaillé chez un constructeur informatique puis créé un bureau de conseil aux entreprises. Il a trente ans d’expérience dans ce domaine aussi bien dans les grands groupes multinationaux que dans les PME. Il a en outre enseigné à Supélec à Rennes et à l’Institut post-universitaire de l’université technologique de Compiègne. Il a écrit Gérer l’urgence ? Mission de tous les acteurs de l’entreprise.
Prix : 32 €
Dimensions : 17 x 24
Nombreux schémas en couleurs
Nombre de pages : 320
Prix : 32 €
Dimensions : 17 x 24
Nombreux schémas en couleurs
Nombre de pages : 320
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