dimanche 21 décembre 2014

Dictionnaire encyclopédique des cépages et de leurs synonymes

À paraître courant juin...




Le Dictionnaire encyclopédique des cépages et de leurs synonymes est un ouvrage fondamental et exhaustif. Une première édition parue en 2000 est épuisée et introuvable depuis de nombreuses années. Réactualisé et augmenté, il comporte des mises à jour tant sur les statistiques que sur les dernières techniques de la science de l’ampélographie. Avec plus de 1 200 pages et 3 000 photos, il permet une identification immédiate des cépages sur le terrain en donnant toutes les clés pour les reconnaître. Il indique les synonymes et reprend les noms régionaux. Il précise leur répartition géographique et propose une identification très claire. Ce sont près de 10 000 cépages de l’ensemble du monde qui sont répertoriés et analysés : un travail unique et monumental.

Cette édition définitive, d’une œuvre majeure et indispensable, a été entièrement revue, corrigée et actualisée par son auteur. Elle est de toute première importance pour l’ensemble de la filière viticole. Travail de grande ampleur, elle intéresse aussi bien les amateurs passionnés que les professionnels de la vigne et du vin.

L’auteur
Pierre Galet est considéré comme le père de l’ampélographie moderne. Ses ouvrages ont été publiés dans le monde entier. En tant que contrôleur de la Protection des végétaux, il est chargé de mettre sur pied le contrôle des bois et plants de vigne. En 1956, il publie Cépages et vignobles de France, un ouvrage répertoriant et décrivant les cépages cultivés à l’époque en France. Il s’impose dès les années 1950 comme un expert en matière d’ampélographie, et en 1979 publie un Précis d’ampélographie pratique édité par l’université de Cornell à Geneva, dans l’État de New York, régulièrement réédité et mis à jour. Une première édition de son Dictionnaire encyclopédique des cépages paraît chez Hachette en 2000.


Prix : 98,00 €
Dimensions : 21 x 24
Nombre de pages : 1 284

Calanques, scandale et laxisme d'un parc national


Il a fallu plus d’un siècle de combats et la mobilisation de milliers de personnes pour aboutir enfin, en 2012, à la création du parc national des Calanques. La joie fut immense puisque ce nouveau statut allait garantir la protection et la pérennité de ce site d’exception si cher aux Marseillais et si souvent menacé !
Mais cet enthousiasme laissa la place à une immense déception et à une grande colère lorsque le conseil d’administration autorisa le rejet des résidus toxiques de l’usine d’alumine de Gardanne. De plus, le rejet des eaux d’égout d’un million d’habitants, l’insécurité des décharges des anciens sites industriels ainsi que la tolérance de la chasse sont autant de nuisances fragilisant l’équilibre écologique du parc.
Il est indispensable de faire du parc national des Calanques, débarrassé de toute pollution, un modèle du genre. N’est-il pas l’un des plus précieux fleurons reconnus de notre patrimoine national et le plus grand trésor naturel de la cité phocéenne ?! 

L’auteur 
Docteur d’État, maître de conférences honoraire, professeur honoraire à l’École nationale des travaux publics de l’État, Henry Augier était à la tête d’un laboratoire spécialisé dans l’étude des nuisances et expert consultant international sur les problèmes de pollution et de protection de la nature. Il a écrit de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique consacrés aux dangers majeurs qui nous menacent. Président en titre, puis président d’honneur de l’Union calanques littoral, Henry Augier a toujours été à la pointe des combats pour la sauvegarde des calanques qui ont conduit à la création du parc national.

Prix : 9,50 €
Dimensions : 13 x 21
Nb de pages : 88 pages
15 photos et schémas

lundi 10 novembre 2014

Quelles orientations politiques face aux défis globaux?


Nous arrivons au terme d’un modèle de société… Le champ d’action du pouvoir politique est aujourd’hui largement déterminé par des organisations internationales dominées par des lobbies multinationaux dont les intérêts ne correspondent en rien à l’intérêt des peuples. Fondée sur le gaspillage systématique et le pillage des ressources naturelles, la société capitaliste est en train de nous mener à notre perte. Mais personne n’ose, semble-t-il, en admettre toutes les conséquences. Il est grand temps d’examiner des orientations politiques qui offriraient des chances raisonnables de « bien-vivre ». Une prise de conscience et une pression populaire pourront encore éviter que la mécanique de destruction de la biosphère, à laquelle nous appartenons, poursuive son mouvement. Un avenir heureux passe par la sobriété matérielle. Cet ouvrage est une réflexion sur la manière de sortir de l’impasse dans laquelle toute une génération a conduit la Terre.

L’auteur
Après une carrière d’informaticien dans une compagnie d’assurances d’abord, et de fonctionnaire européen ensuite, Jean-Pierre Wauters a choisi de se consacrer à la défense d’une société plus juste et plus sûre. Passionné par les problèmes d’éducation, d’économie politique et d’environnement, il est à l’écoute permanente de la recherche scientifique.

Prix : 16 €
Dimensions : 15,5 x 22,5
Nombre de pages : 240

mardi 14 octobre 2014

Des égouts sous la mer


Malgré le discours officiel et tous les pavillons bleus attribués à nos plages, notre littoral est de plus en plus gravement pollué. Nos stations d’épuration sont tellement déficientes que l’on est obligé de transférer au large les eaux usées ! Cachés au regard de tous ont été installés sous la mer d’énormes tuyaux tout au long de notre littoral méditerranéen et atlantique. Gigantesques seringues qui injectent les polluants les plus toxiques, les plus redoutables et les plus résistants… C’est une illusion de croire que cette masse d’eau sortant en continu des émissaires reste bien sagement sur place. C’est tout aussi utopique d’espérer que, grâce à son immensité, la mer absorbera sans problème ces résidus indestructibles. Ces émissaires en mer sont des procédés vieillots, obsolètes, qu’il faut supprimer au plus vite. Il est urgent de s’opposer avec la plus grande vigueur aux projets de construction d’autres émissaires en mer, comme c’est le cas à Marseille, dans les eaux du parc national des Calanques !

Nous disposons actuellement de techniques suffisamment performantes pour épurer à 100 % les eaux usées dont la qualité peut atteindre celle des eaux potables. De nombreuses initiatives vont dans ce sens. Il faut mettre les autorités et les élus en face de leurs responsabilités, en rappelant que les lois sur l’eau recommandent de traiter la pollution à la source et non pas de l’éloigner des rivages ! Il en va de la pérennité et de la qualité du plus grand de nos garde-manger.

L’auteur
Docteur d’État, maître de conférences honoraire à la faculté des sciences de Marseille-Luminy, professeur honoraire à l’École nationale des travaux publics de l’État, Henry Augier a été à la tête d’un laboratoire spécialisé dans l’étude des nuisances. Il fut également responsable de l’enseignement de la molysmologie (science des pollutions) à l’université de la Méditerranée et expert consultant international sur les problèmes de pollution et de protection de la nature et de la mer. Il a écrit de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique consacrés aux problèmes majeurs qui nous menacent.

Prix : 15,90 euros
Dimensions : 15 x 22
Nombre de pages : 224

Vers une société désirable


Le mode occidental subit une crise économique de plus en plus aiguë qui occasionne chômage et pauvreté. Les responsables, tant économiques que politiques, ne tiennent pas compte des causes profondes qui ont entraîné cette situation : le changement climatique, la fin du pétrole bon marché, la réduction dramatique de la biodiversité… Notre société, dans sa grande majorité, n’en a cure et pratique avec obstination le déni.
La solution largement proposée, c’est de retrouver la croissance ! Et pourtant, sortir de la crise se trouve à terme dans la décroissance des productions matérielles, sans pour autant sombrer dans le chaos et l’austérité imposée. Le chemin de la transition depuis une société dure aux pauvres et douce aux riches, vers une société plus harmonieuse, soucieuse des inégalités est étroit.
Il n’y a pas de recettes, mais un changement radical de l’organisation de nos échanges et de nos modes de vie ; il y a urgence !

L’auteur
Christian Araud, polytechnicien, spécialisé en économie du développement, ancien consultant international, a construit au cours de sa vie professionnelle une réflexion originale. Il en a retracé la genèse dans son premier livre, La Décroissance ou le chaos. Parcours d’un consultant international. Installé dans les quartiers nord de Marseille, il a poursuivi son travail sur la décroissance nécessaire et le chaos à éviter à travers Préludes à la transition. Pourquoi changer le monde ?.

Prix : 15,50 €
Dimensions : 13 x 21 cm
Nombre de pages : 240

vendredi 1 août 2014



Prenez connaissance de nos prochaines parutions dans l'onglet
À paraître !

dimanche 23 mars 2014

La Face cachée de Darwin

Paru le 12 mai




Depuis quelque temps, Darwin fait l’actualité… les ouvrages se succèdent. Jean-Claude Ameisen en a fait une série radiophonique, Sur les épaules de Darwin, qui obtient une large écoute sur France Inter et fait l’objet de deux livres. Pascal Picq, dans son ouvrage De Darwin à Lévi-Strauss, nous donne une analyse subtile… L’œuvre de l’auteur de L’Origine des espèces est explorée, voire exploitée.

Pourtant, peu de biographes ou d’exégètes se sont intéressés à l’aspect sans doute le plus révolutionnaire de la pensée de Darwin qui réconcilie les sciences naturelles et les sciences sociales. Cette explication matérialiste du monde vivant et de notre origine animale, sûrement trop dérangeante, a été laissée de côté.

C’est en fin connaisseur de cette œuvre monumentale que Pierre Jouventin, la replaçant dans son contexte historique et exploitant l’ensemble de ses écrits, nous fait découvrir un Darwin méconnu. Ses découvertes éthologiques font de lui un penseur éthique majeur qui fonde une réflexion écologique indispensable à la société moderne.

La Face cachée de Darwin est un livre fondamental qui apporte un nouvel élan à notre pensée sur l’homme en le resituant dans la nature.

À l’heure où les problèmes écologiques nous interpellent par des catastrophes de plus en plus fréquentes, cet ouvrage est incontournable pour comprendre comment s’engage l’avenir de l’homme dans un monde qu’il a grandement contribué à déstabiliser.

Prix : 22,50 €
Dimension 15,5 x 22,5
Nombre de pages : 256

On en parle !
http://jne-asso.org/blogjne/?cat=5

lundi 3 mars 2014

Poissons, histoires de pêcheurs, de cuisiniers et autres...


Paru le 11 juin.

Un livre exceptionnel !


Notre littoral est peuplé de ces petits bateaux artisans qui larguent l’amarre bien avant l’aube pour aller piéger quelques poissons dont nous avons oublié parfois les noms et les saveurs. Réglés sur la nature, familiers de leur jardin maritime, les pêcheurs – ces hommes singuliers, aux antipodes des industriels de la pêche, ravageurs d’océans – nous dévoilent un univers coloré, aux savoirs élaborés, fortement empreint d’humanité. Cette mer qui vient sans mur ni béton, sans mesure à nos yeux, juste là, à la porte de nos villes, se faufile en nos ports, s’insinue en nos estuaires. Petit saut sur le pont et nous voilà partis. De l’écume que l’on brasse et embrasse, l’on s’y détend pleinement, libre d’aller, de voguer, sillonner et plonger… C’est cet univers fantastique qui est conté tout au long des pages de ce livre allant de surprises en émerveillements : un beau voyage riche en embruns marins. Pêcheurs, chefs cuisiniers, photographes : leurs témoignages sont mis en valeur par Élisabeth Tempier, qui leur a donné la parole. Ils nous font partager leur métier, leur passion et l’amour du travail bien fait. La transcription des mots et des silences est un vrai bonheur pour ceux qui découvriront le métier des hommes et femmes de mer.

Format : 17 x 24 cm
Nombre de pages : 288 pages
Prix : 29,90 €

On en parle déjà !
http://www.slowfood.com/slowfish/pagine/fra/news/dettaglio_news.lasso?-idn=125
http://webzine.unitedfashionforpeace.com/lifestyle/poissons-histoires-de-pecheurs-cuisiniers-elisabeth-tempier-raconte/#.U7O8Tfl_uCl
http://www.institut-paul-ricard.org/


dimanche 16 février 2014

Qui veut la peau du lynx ?

Paru le 10 mars


Le lynx se coule et se camoufle dans la nature, il nous observe à notre insu ; c’est de cet art que dépend sa survie. Ce talent fait de lui un animal mythique. Il serait malheureux de le laisser entrer dans la légende, faute d’avoir su le préserver parmi nous.
Mais le lynx porte en lui cette malédiction qu’il partage avec l’ours ou le loup : le malheur d’être classé grand prédateur. Il fait peur.
Obsédé par ce besoin impérieux de maîtriser la nature, l’homme est prêt à se priver de l’une de ses plus belles richesses, de cette part sauvage de son paysage indispensable à l’écosystème.
C’est au début du xxe siècle que le lynx a disparu de France et de la majeure partie de l’Europe. Il a depuis été protégé et réintroduit dans plusieurs pays, où il s’est très bien adapté à la vie des forêts en cohabitant avec l’homme et la faune existante.
En France, trois tentatives de réintroduction ont été effectuées avec plus ou moins de réussite : dans les Vosges, les Alpes et le Jura. Mais toutes se sont heurtées aux mêmes lobbys des chasseurs et des agriculteurs, qui le pourchassent sous des prétextes fallacieux.
Cet ouvrage dresse l’état des lieux et relate la lutte des associations de protection de la nature pour que ce félin soit protégé et admis.
Le retour du lynx n’en est qu’à ses débuts. Quoi qu’en disent et quoi que fassent les lobbys de la ruralité, il est un acteur essentiel de notre environnement naturel.
Il ne faut jamais oublier que le monde sauvage est indispensable pour retrouver notre vérité et notre liberté.

Format : 15,5 x 22,5 cm
Nombre de pages : 256 pages
Prix : 19,90 €

On en parle
Actualité encore :
Pierre Athanaze donnera deux conférences en novembre 2014 : au Muséum de Colmar et dans le cadre des Rencontres alpines à Sallanches, en Haute-Savoie.

Critique de la raison automobile

Paru le 8 avril 2014


Nous sommes tous des « hommautos »… En l’utilisant tous les jours, en y passant des heures d’affilée, la voiture est devenue un objet auquel on ne réfléchit plus, un objet tellement commun qu’il semble qu’il n’y ait rien à en dire. Elle fait partie de notre vie, l’envahit, la hante.
Nous en respirons les gaz d’échappement, en expérimentons les risques, en espérons des plaisirs. Seuls ou accompagnés, nous y réfléchissons, nous y rêvassons, nous y écoutons les informations… ou nous nous transformons en conducteur irascible…
Le propos n’est pas de porter un jugement moral sur l’automobile, ni seulement de dire qu’il est préférable de limiter son usage, de se déplacer à pied ou à vélo, même si cela nous fait redécouvrir des plaisirs oubliés : retrouver notre corps, sa temporalité, être à l’écoute de notre environnement naturel, urbain ou social.
Il est ici question de suggérer un dialogue, afin de penser la voiture au lieu de la subir.
En quarante et un petits récits, nous découvrons qu’elle n’est pas une question de choix personnel, mais un problème collectif, social. Sa place dans nos sociétés révèle en effet qu’elle est ritualisée avec une forte connotation symbolique.
Cet ouvrage suscite une véritable prise de conscience et nous permet de poser un regard objectif sur la place de l’automobile dans notre société, et donc sur nous-mêmes.



Format : 13 x 21 cm
Nombre de pages : 168 pages
Prix : 14,90 €

On en parle